Entre passage à niveau et gare
Curieusement c'est l'une des épiceries dont je me souviens le mieux, sans doute que je devais la dévaliser en bonbons. Elle était tenue par madame Fargeas le long de la voie de chemin de fer sur cette avenue que j'ai longtemps cru s'appeler "avenue de la gare" et qui en fait s'appelle avenue Victor Hugo. Je me permets de signaler qu'il y a peu de noms de rue de femmes dans la plus belle ville du monde qui a je vous le rappelle l'un des rares monuments aux morts du Limousin dominé par une femme ( ici)
"Seulement après que le dernier arbre aura été coupé, que la dernière rivière aura été empoisonnée, que le dernier poisson aura été capturé, alors seulement vous découvrirez que l'argent ne se mange pas" Cette phrase désormais célèbre pourrait s’appliquer à mon ex petit vallon favori qui vient d'être détruit avec force matériel, ce qui laisse mal augurer de ce qui va advenir de l'air, de l'eau et de l'environnement de ce lieu
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Bonjour
RépondreSupprimerCela ne m'étonne pas car pour les "anciens" dont je fais partie, l'avenue de la gare n'a jamais eu d'autre nom (voir recensement 1936).
Nos anciens rendaient moins hommages aux hommes qu'aux lieux. Etait ce un bien? Untel a t'il plus mérité qu'un autre pour figurer sur une plaque loin de son lieu de naissance?
A part J.Cariven qui a oeuvré pour sa cité n'y a t'il pas dautres allassacois méritants.