INFO OU INTOXC'est drôle, c'est comme pour un divorce : suivant le coté où l'on se trouve la vision(version) est différente.
Ici on entend parler de fortunes faites grâce aux pommes, de subventions conséquentes et tout le cortège typiquement corrézien lié à l'agriculture et là à savoir le journal local c'est la crise!!!
Mettez vous à un autre style d'agriculture (voir çi dessous) vos enfants vous en seront reconnaissants ...........................................sans commentaire.
le marché français manque de pommes sans pesticide et en exporte des autres pays. On pourrait comme le conseille la journaliste de la Montagne alors manger des pommes corréziennes.
"Seulement après que le dernier arbre aura été coupé, que la dernière rivière aura été empoisonnée, que le dernier poisson aura été capturé, alors seulement vous découvrirez que l'argent ne se mange pas" Cette phrase désormais célèbre pourrait s’appliquer à mon ex petit vallon favori qui vient d'être détruit avec force matériel, ce qui laisse mal augurer de ce qui va advenir de l'air, de l'eau et de l'environnement de ce lieu
hier un reportage pour annoncer un stock de surproduction impossible à écouler, aujourd'hui un article en 1ère page pour annoncer une excellente année 2009 pour la Pomme du LIMOUSIN avec 20 000 tonnes de plus que l'année passée...et on continue de planter.
RépondreSupprimerEntre temps, comme disait si bien Coluche, "on s'autorise à penser, dans les milieux autorisés", qu'une convention serait en cours de signature entre les représentants pomiculteurs et le Conseil général de la Corrèze pour que ce dernier écoule le stock restant dans les cantines scolaires du département. Pendant que nos enfants vont "digérer" la surproduction de pomme, les pomiculteurs eux se frottent les mains. Pas facile de vendre des pommes de plus d'un an! Même la grande distribution n'en veut pas! Heureusement que nos gosses sont là! J'espère que demain, la cave du saillant n'aura pas de difficulté pour écouler ses bouteilles sinon... Nos élus de la Nation n'oseraient pas filer le pinard aux enfants, quoique... Non , heureusement, pour le vin, il reste les maisons de retraite et les HEPAD. Voila où nous en sommes aujourd'hui. Plus sérieusement il serait intéressant que quelqu'un puisse se renseigner sur la véracité des faits, même si ma source est fiable. en effet, si un tel contrat est signé je pense que l'on aura touché le fond.