Editorial du Monde.
' L'empathie de Nicolas Sarkozy pour les
thématiques du Front national est une faute politique, une faute morale
et un aveu d'impuissance'...
Beaucoup d'allassacois ont du se réveiller lundi matin avec la gueule de bois.
Qui pouvaient être ceux, si nombreux pour la commune, qui ont voté Front National ?
Les plus anciens totalement traumatisés ne s'en remettent pas si j'en crois pas mal de réactions.
De tristes souvenirs remontent à la surface car si les mots changent, ce et ceux qui sont derrière ces initiales FN, sont toujours les mêmes.
Ici,
- où le lien social n'est pas un vain mot,
- où les élus de tous bords sont en première ligne,
- où les associations sont légion et fonctionnent bien
- où le nombre d'immigrés est faible,
- où la délinquance n'est sûrement pas l'angoisse majeure,
- où le prix au m2 est le moins cher de France avec 75% de propriétaires,
- où le taux de chômage est peu évolutif et inférieur à 10%.
oui ici, comment peut-on en être arrivé là ?
Si l'on en croit toutes les analyses depuis lundi, ce sont les rurbains ceux qui chassaient des villes n'ont plus les moyens d'y vivre qui sont venus renforcés les troupes historiques du FN..
Entièrement d'accord avec cette analyse. Une vote FN est loin d'être anodin et il conviendrait à de nombreuses personnes de se plonger dans les livres d'histoires pour se rendre compte des conséquences de tels votes.
RépondreSupprimerSi ceux-ci traduisent avant tout un vote contestataire, un vote blanc reste dans ce cas le plus approprié; encore faudrait il que le vote blanc soit à l'avenir mieux considéré (par exemple: un candidat ne peut être élu que s'il est élu avec un pourcentage minimum de voix des votes exprimés (votes blancs inclus).
Dans tous les cas, le vote FN n'est selon moi pas une réponse dans un pays démocratique comme le nôtre.
Philippe